S’il y a une activité que j’ai aimée par dessus tout quand j’étais enfant et jeune adolescent, c’était bien de collectionner les albums et leurs vignettes Panini. Oh ! Je n’en ai pas eu tant que ça, tout compte fait, car il faut dire que ça pouvait revenir cher à force : je me rappelle qu’on pouvait ouvrir deux ou trois paquets d’autocollants à la suite, sans avoir une seule image nouvelle… que des doubles ou même des triples ! Mais tout le plaisir était là, à chaque ouverture de pochette, on espérait le graal, la n° 142 qui complèterait la scène composée de quatre stickers ! (Bon sang, la 141, je l’ai en cinq exemplaires !!)
Mes albums et autocollants Panini
Heureusement, il y avait dans la cour de récré deux façons de transformer les doublons en vignettes recherchées.
1° L’échange… « Tu as des Pac-Man ? La 142 ? Je peux te donner la 141. Ah ? Tu l’as trois fois ? Bon. Et des Inspecteur Gadget ? » Attention : une brillante vaut au moins deux images classiques !
2° La Tapette… Non, il ne s’agit pas ici d’une insulte homophobe ! Mais du jeu qui consistait à donner une petite tape rapide sur des vignettes retournées. Chaque joueur mettait en jeu le même nombre d’images : le premier qui réussissait à toutes les retourner rien quand leur donnant une petite tape les remportait toutes ! Généralement, ça se jouait en présence d’un arbitre qui s’assurait que les participants n’aient pas les mains mouillées ou collantes (des tricheurs léchaient leur main juste avant de jouer)…
Continuons à nous remémorer cette fièvre autocollante grâce à quelques publicités d’époque…
But pour Rudy et Gwendoline (1989)
N'hésitez pas à laisser un commentaire à la fin de cet article pour nous raconter vos jolis souvenirs concernant les collections Panini !